Jean Mergnat

J’ai débuté en septembre la dernière année de mon master Gestion des Territoires et Développement Local mention Ecologie Humaine à l’université Bordeaux Montaigne. Je suis donc à la recherche d’un stage d’une durée de 6 mois (entre janvier et août 2022) qui me permettrait de me professionnaliser, et d’apprendre dans un domaine qui m’intéresse. 

Je suis sensible à la protection de l’environnement et à l’impact du changement climatique sur nos territoires. C’est pourquoi je souhaite m’investir dans ma vie professionnelle dans des projets que je pense cohérents, justes et importants face aux problématiques environnementales, climatiques et sociales que nous connaissons. Je m’intéresse tout particulièrement à la transition agroécologique.

J’ai effectué de février à août 2021 mon stage de master 1 dans une association de producteurs biologiques de Dordogne. J’ai travaillé à assurer l’autonomie semencière des agriculteurs, à lutter contre la réduction inquiétante de la biodiversité cultivée, à revaloriser le métier de paysan en assurant une meilleure rémunération, et enfin à évoluer vers des pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement. J’ai pu mener durant ce stage une recherche afin d’essayer d’adapter les pratiques des agriculteurs face à l’impact du changement climatique sur leurs cultures. Ce stage a été très professionnalisant car en plus de l’important travail de recherche, j’ai beaucoup participé aux activités du collectif, à la recherche de financements, aux entretiens avec les agriculteurs et à la communication.

A propos de moi, j’ai obtenu en 2020 une licence de « biologie option écologie et biologie des organismes » à l’université de Poitiers avec la mention « Assez bien » en finissant 16eme sur 84 étudiants. J’ai eu la chance d’effectuer le dernier semestre de ma licence au Québec à l’UQTR de Trois-Rivières. Ma licence m’a beaucoup apporté et m’a démontré l’urgence environnementale et climatique de notre époque. Le master Ecologie humaine que je termine cette année est consacré à l’étude des relations entre l’homme et ses environnements et ceci en raison de la place grandissante accordée aux conséquences environnementales des activités humaines. Ce master m’a fait évoluer vers un profil interdisciplinaire en développant notamment mes connaissances en géographie, sociologie, et en économie. Dans les enseignements, une place importante a été accordée aux relations entre acteurs à l’échelle des territoires. Un tel master a comme objectif de former des spécialistes pluridisciplinaires sur les enjeux environnementaux (biodiversité, climat, pollution, agriculture, énergie, mobilité…) capables de mener et de développer des projets de transitions et qui réunissent de multiples acteurs. Personnellement, je considère l’interdisciplinarité comme une richesse, car il me semble que les enjeux auxquels nous faisons face demandent des échanges entre les différentes disciplines. J’ai pu valider le master 1 avec une moyenne de 15,18.