Thèse de Doctorat en Biologie Moléculaire - Montpellier, France - CNRS

CNRS

Entreprise vérifiée

Montpellier, France

il y a 3 semaines

Posté par:

Sophie Dupont

beBee Recruiter

Description

Date Limite Candidature : vendredi 10 mars 2023

**Informations générales**:
Référence : UMR9004-KONBRO-001
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : MONTPELLIER
Date de publication : vendredi 17 février 2023
Nom du responsable scientifique : Konstantin Brodolin
Type de contrat : CDD Doctorant/Contrat doctoral
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 septembre 2023
Quotité de travail : Temps complet
Rémunération : 2 135,00 € brut mensuel

**Description du sujet de thèse**:
La régulation de la transcription des gènes est le principal mécanisme sous-jacent à l'apparition de bactéries tolérantes aux médicaments et aux infections chroniques comme la tuberculose. Ce projet vise à dévoiler les mécanismes spécifiques de terminaison de la transcription chez l'agent pathogène humain, Mycobacterium tuberculosis en lien avec la résistance aux antibiotiques.
L'étude se concentrera sur l'analyse structure-fonctionnel des facteurs de transcription (TF) liant l'ARN polymérase (ARNP) de Mycobacterium tuberculosis. L'objectif du projet est d'identifier de nouveaux partenaires de liaison des TF et des ARNP à l'aide de la protéomique. Nous chercherons aussi à d'explorer leur rôle lors de l'élongation et de la terminaison de la transcription à l'aide d'essais biochimiques, génétique et grâce à de rapporteurs fluorescents dans des cellules vivantes.

**Contexte de travail**:
La thèse sera réalisée dans l'équipe du Konstantin Brodolin à l'Institut de Recherche en Infectiologie de Montpellier (IRIM, Montpellier, France). L'IRIM est situé sur le campus CNRS - Université de Montpellier qui offre un environnement scientifique riche et dynamique. L'équipe explore les mécanismes moléculaires de régulation de la transcription chez les bactéries pathogènes en utilisant des approches biochimiques, biophysiques et structurales.

**Contraintes et risques**:
Utilisation de radioactivité (isotope P-32)